1986, in La Revue des revues no 2
Comment dire Théodore Balmoral sinon en reprenant dans l’A-propos du no 2-3 (été 1986) puisqu’on en peut chercher vainement le sommaire en couverture qui n’en donne que ce patronyme imaginaire : « L’existence de Théodore Balmoral tient précisément à ce que l’avènement de son nom propre en marque l’absence de réalité, jusqu’à toute vraisemblance romanesque, pour en bien marquer l’importance, de semer même le biographe imaginaire qui n’est pas à un veau d’or près. Ici, inventer un nom n’est-ce-pas retirer une vie au monde ? »
Néanmoins dans ce deuxième numéro des textes d’Alain Borer (un chapitre inédit de son Rimbaud en Abyssinie), de Jude Stéfan (Lettre à Sollers), de Pierre Bettencourt, de Thierry Bouchard.