L’ Ouroboros

Différente, flamboyante, notre revue se réclame d’un symbole quatre fois millénaire, qui relie les quatre coins du monde. De la Chine antique au Quetzalcoatl ailé des Aztèques, en passant par les papyrus de l’ancienne Égypte, l’Ouroboros a été le glyphe purifiant des alchimistes avant d’être consacré en archétype jungien.

Accusé de se mordre la queue, il ne s’enroule que pour renaître à chaque saison, devenant souvent lemniscate dressé en 8, signe de l’Infini. Enraciné dans un passé généreux, magnifique et magnifié, il est généreux, engagé, créatif.

Ainsi la revue, couronnée de ce singulier éponyme, tisse-t-elle le lien entre les talents reconnus et les jeunes intelligences, entre les génies du passé et les nouveaux créateurs, toutes disciplines et toutes expressions artistiques confondues.
Élitiste pour tous, elle veut faire entendre une voix innovante dans un monde néo-libéral triste et injuste, écrasé par la piètre loi du marché, où la philosophie et l’art sont absurdement relégués au rang de marchandises inessentielles.

Lieu de rencontre de tous ceux qui ne se satisfont pas du monde tel qu’il est, de ceux qui ne veulent comprendre le monde que pour changer le monde, riches de la raison la plus affutée comme des rêves les plus fous, elle a pour ambition de briser la désespérance en faisant triompher le souffle salubre de l’Utopie.

La revue est disponible en librairies à Paris, Lyon et Genève, ainsi que dans une vingtaine d’autres librairies et lieux culturels en France, dont Grenoble, Chamonix, Tours, Strasbourg, Dijon, Montpellier, Marseille, Toulouse…

Publié le 22 décembre 2020