Borborygmes

a gagné en épaisseur ce qu’elle a perdu en périodicité : trimestriel de 48 pages jusqu’à son n°16, Borborygmes atteint, désormais sur un rythme semestriel, les 64 pages. Ce qui ne l’empêche pas d’être toujours intrépide et de multiplier les rendez-vous… Bien au contraire : car à côté des auteurs fidèles, elle pourra accueillir de nouveaux venus.