L’Œil bleu, regards ultimes
« Espérons à présent que les quelques trépassés de jadis que L’Œil bleu se sera efforcé de réveiller un instant nous en saurons gré. Beaucoup d’autres attendent leur tour » : Nicolas Leroux donne congé (« Ultima verba ») à sa revue (qu’il a fondée avec Henri Bordillon) et à ses lecteurs avec la
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