Cap au pire
Nous nous faisions l’an passé l’écho de la situation alarmante de la Bibliothèque interuniversitaire de Santé qui devait tailler à la hache dans l’ensemble de ses abonnements aux revues papier ou électroniques. L’imparable vérité est dans les chiffres : en 2014, la bibliothèque s’est désabonnée de l’ensemble des revues imprimées (voir ci-contre l’image aujourd’hui des
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